Même si Angel savait que le départ d’Elenna rassurerais Dylan, ne put s’empêcher de pensé a son amie en se disant qu’elle ne la révérait pas de si tôt, de plus elle se retrouvait seule pour protéger son demi ange tant chéri contre les chasseurs divers et même si elle s’en savait capable le risque qu’il soit blesser ne s’en trouvait qu’augmenter et sa s’était une très mauvaise chose.
Comme elle pouvait s’y attendre, quand il prit son téléphone la réaction ne fut pas la même que la sienne, lui semblais ravi dans un premier temps ne semblant comprendre pas vraiment se que le départ de la chasseuse engendrais comme « complication » a peine arriver le voila déjà contraint au départ et même si le fit qu’il s’en aille éviterais certainement a Angel de se faire assassiner au lycée, elle n’avait pas vraiment envie qu’il s’en aille. Alors même qu’elle prenait e téléphone que lui rendais son bien aime, Angel se trouva happer par ses bras pour une douce étreinte qui se voulais certainement rassurante, la blondinette se complaisant dans la coquons que lui offrais son amour, elle ne cherchât absolument pas a s’en défaire et fermât même les yeux en sentant son menton se poser sur le haut de son crane.
Après une ou deux minute, la douce et tendre étreinte de son bel ange se changeât en un baiser passionné, leurs journée ne faisait que débuter et espérons le se passerais mieux qu’elle n’avait commencé avec ce sms. Son amoureux lui fit part de son désir de rester laissant le cœur de la demoiselle accéléré sa course en apprenant la nouvelle et il lui dit qu’il trouverait bien un moyen de convaincre ses parents sur la route de sa maison. Dylan lui demandais si elle était d’accord mais apparemment il n’avait pas vraiment compris que lui demander de se séparé de lui, lui était aussi impossible que d’arrêter de respiré, il lui était bien plus précieux que l’aire qui emplissait ses poumons et non pas parce qu’il était son protéger mais tout simplement parce qu’elle lui avait confié son cœur. La demoiselle ne put s’empêcher de rire lorsqu’il lui exprima sur un clin d’œil a quel point sa tenue lui « plaisait » et c’est en lui tirant la langue qu’elle lui lançât retrouvant son éternelle bonne humeur
-je te rappel mon cher que tu es un ange et que par conséquent tu dois être sage
C’est toujours en se moquant gentiment de lui qu’elle fermât la fenêtre, pris les clés de l’appartement et se dirigeât vers la porte qu’elle ouvrit en faisant signe a son cher et tendre de passé devant.